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Vaccination Obligatoire en France : la liste des vaccins

A l’heure où nous nous interrogeons sur les compositions et la provenance de chaque produits pour notre bien-être, nous sommes de plus en plus nombreux et nombreuses à nous demander si les vaccins que l’on administre aux tout petits sont véritablement bénéfiques à leur santé…

Le 4 juillet 2017, le premier ministre, Edouard Philipe, à décidé de mettre un terme à cette interrogation en imposant 11 vaccins obligatoires dès 2018 contre 3 jusqu’alors.

Une décision loin de faire l’unanimité.

Cette obligation de vaccination ne rassure pas les Français, qui, en majorité, considèrent que les bénéfices d’une telle mesure sont principalement économiques. La crainte des effets secondaires de ces vaccins entraine souvent un refus catégorique des jeunes mamans à la vaccination de leur bébés. Ainsi, la pénalité pour ce refus (3.750 euros ainsi que 6 mois d’emprisonnement) ne fait qu’accentuer la défiance.

 

Les vaccins concernés.

La coqueluche, la rougeole, oreillons, rubéole, Hépatite B, Haemophilus influenzae, pneumocoque et méningocoque C, en plus de ceux, déjà obligatoires, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.

 

Une mesure sanitaire raisonnée ?

Entre 2008 et 2012 plus de 24.000 cas de rougeole ont été déclarés en France dont 10 décès, 1.500 ont présentés une pneumopathie grave, et 34 une complication neurologique. Depuis le 1er janvier au 31 mars 2017, 134 cas ont été déclarés (3fois plus que l’an dernier sur la même période). La France n’est pas à l’abri d’une nouvelle épidémie de rougeole, une maladie infectieuse extrêmement contagieuse, de grande ampleur. Cette maladie nécessite une vaccination de grande ampleur pour protéger la population. La vaccination n’est pas un acte individuel.

Rappelons qu’en ce début d’année, au campus de Dijon, 30.000 étudiants et employés ont dû être vaccinés d’urgence contre la méningite suite au décès de deux étudiantes

Des sociétés scientifiques et médicales soutiennent ce projet expliquant que « l’élargissement provisoire des obligations est la seule réponse adaptée face au danger que représente les maladies infectieuses », et que la crainte autour de la vaccination « exposait les plus vulnérables à des risques non acceptables ». Pour la ministre de la santé « il y a des fois où l’obligation est une bonne chose pour permettre à la société d’évoluer ».En revanche d’après le président de l’Institut pour la protection de la santé naturelle la mise en place de cette mesure  » constituerait un recul sans précédent de nos libertés ainsi qu’un parfait mépris pour les victimes de la vaccination, qui, s’en être nombreuses, existent et méritent d’être prises en compte ».

Prenons l’exemple de la coqueluche, la vaccination n’intervient pas avant les 4 mois du bébé, en élargissant la couverture de vaccination de la coqueluche, votre bébé de moins de 4 mois sera lui aussi protégé de la maladie. La vaccination est un acte collectif. A ses 4 mois, en vaccinant votre enfant vous le protégez lui ainsi que les autres nouveaux nés de moins de 4 mois…

Le cas le plus décrié, l’hépatite B. En effet celle-ci se transmet par le sang ou lors de rapports sexuels alors pourquoi le faire vacciner si tôt ? La vaccination chez le nourrisson le protège jusqu’à l’âge adulte, ainsi la campagne de vaccination contre l’hépatite B n’a commencé à donner des résultats que lorsque les bébés ont commencés à être vaccinés.

 

Un réel danger pour la santé ?

Les possibles effets secondaires des vaccins peuvent entrainer des inflammations autour de la zone de vaccination, évidemment rien de bien agréable mais pour autant ces effets sont presque insignifiants en comparaison d’une non-vaccination, qui, comme nous l’avons vu peut entrainer le retour de grave maladies infectieuses. Et ainsi une augmentation de la mortalité infantile, et une augmentation à la résistance aux antibiotiques. En effet, une augmentation des infections augmenteraient la prise d’antibiotiques et donc le développement de nouvelles résistances… Rappelons également que les scandales sanitaires qui ont mis en cause les vaccins (la vaccination de la rougeole auraient entrainer plusieurs cas d’autismes) n’ont en réalité rien eu à voir avec les-dits vaccins.

Bien sûr la tendance est à l’amélioration des compositions des vaccins, à la réduction au minimum des doses de sorte qu’il ne reste que des traces infimes d’aluminium par exemple, qui n’auront pas à eux seuls un effet nocif sur la santé.

Les produits toxiques sont de partout autour de nous et de nos enfants, commençons par supprimer ceux qui peuvent l’être tout en étant bénéfique à la santé : une alimentation bio sans pesticides, huiles de palmes… des soins naturels (gel douches, cosmétiques, couches…) sans perturbateurs endocriniens…

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