Si vous subissez des attaques de panique, votre première ligne de défense est d’essayer d’identifier le déclencheur et de l’éliminer de votre vie ou de minimiser son impact sur vous – par exemple, si vous en subissez après une dispute avec votre partenaire, essayez de parler de vos sentiments avec lui ou elle au lieu de les refouler et de réagir négativement lorsqu’il ou elle essaie de discuter avec vous du conflit qui a provoqué l’attaque (Moulding & Cox 2006 ; Panksepp et al 2004 ; Krakow et al 2003).
Je voulais simplement vous remercier d’être l’une de ces personnes qui aident les autres à traverser les périodes difficiles de leur vie.

La gravité du trouble panique varie considérablement d’un patient à l’autre, allant d’un état suffisamment léger pour ne causer que quelques heures d’inquiétude à un état suffisamment grave pour interférer avec le fonctionnement quotidien (Kessler et al 2005). Les symptômes les plus courants sont une peur et une anxiété intenses, ainsi que des sensations physiques telles que des palpitations cardiaques et un essoufflement (APA 2013).

Le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) survient après l’exposition à un événement traumatique qui menace l’intégrité physique ou psychologique d’un individu, souvent caractérisé par des flashbacks ou des cauchemars Les symptômes du SSPT peuvent apparaître immédiatement ou se développer au fil du temps après l’événement, ce qui donne lieu à des types aigus et retardés.. Les symptômes du TSPT différé peuvent apparaître plusieurs semaines, mois ou années plus tard, mais peuvent également être observés quelques jours ou semaines après le traumatisme initial.
Certaines personnes ont une prédisposition génétique aux attaques de panique.

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